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    Écoconception mode d’emploi

    Écoconception mode d'emploi

    écoconception rapport d'activité

    Coup de chapeau à la Fondation Jean-Luc Lagardère qui a opté pour une démarche 100% écoconçue pour son rapport d’activité.

    Une démarche qui nous remplit de fierté car ce n’est pas souvent qu’une marque joue vraiment la carte de l’écoconception, mais aussi parce que le résultat est original.

    Le principe vise à réduire les impacts environnementaux du rapport en alliant créativité, intelligence collective et transparence.

    Cette démarche a commencé dès la création du document, qui s’est adaptée aux contraintes technico-environnementales.

    Autopsie de ce cas d’école ou comment vous comprendrez que tous les choix sont déterminants et intimement liés…

    • Le choix du format : le format des feuilles de papier sur lesquelles on imprime en offset est standard. Le format des documents n’est généralement pas calculé en fonction de ce format de feuille mais selon celui du format final désiré. De ce fait, une partie de la feuille d’impression n’est pas utilisée. Une fois le document imprimé, ces parties sont massicotées (le mot métier pour dire « coupées ») et terminent à la poubelle (heureusement la plupart des imprimeurs les recyclent).
      En calculant le format du document fini à partir du format de la feuille machine, nous avons réduit de 100% le gaspillage du papier.
    • Le nombre de pages : le format de la feuille d’impression a aussi déterminé le nombre de pages afin d’optimiser le nombre de calages. Chaque calage est énergivore, sans compter qu’il faut, en plus, nettoyer entièrement la machine d’impression entre 2 calages.
      En optant pour un format optimisé, nous avons imprimé un document de 32 pages avec seulement 2 calages (le recto et le verso).
    • Le choix de nombre de couleurs : lorsque l’on imprime un document, on gâche du papier pour caler chaque couleur. 150 feuilles environ partent ainsi à la poubelle pour caler l’encrage d’une couleur, soient environ 600 feuilles pour un calage en quadrichromie. Nous lui avons préféré la bichromie en utilisant seulement les 2 couleurs du logo de la Fondation Jean-Luc Lagardère.
      En optant pour une impression en 2 couleurs, nous avons réduit de moitié la gâche de papier.
    • Les choix du design graphique : nous avons travaillé les couleurs en jouant sur les trames de façon à conjuguer les couleurs entre elles et à donner à la colorisation des photos une touche originale.
      Nous avons également opté pour des typos évidées, tout en respectant la charte graphique du client.
      En jouant ainsi sur les trames et la densité de l’encrage, notamment sur les aplats, nous avons réduit significativement le volume d’encre nécessaire à l’impression.
    • Enfin, nous avons choisi un papier couché recyclé et confié tout ce beau travail à une imprimerie certifiée Imprim’vert, FSC & PEFC.

     

    Loin de brider la créativité des équipes, l’écoconception leur a donné l’occasion d’explorer un monde créatif en lien avec nos valeurs.

    Un grand merci à nos clientes Laure Rivière, Quiterie Camus, Amandine Valenza et Morgane Pinto Da Costa et bravo à l’imprimerie INORE GROUPE IMPRESSION.