On imagine que vous avez toutes et tous envie de vivre dans des villes où l’on peut faire ses courses chez de petits commerçants, où vous pouvez aller au cinéma, faire du sport, fréquenter la bibliothèque, boire un coup en terrasse… bref dans lesquels il fait bon vivre et se promener en joignant l’utile à l’agréable.
Malheureusement, il n’est pas simple pour toutes les communes de faire correspondre leur réalité à cette image d’Epinal (on ne sait pas trop comment c’est à Epinal, mais à Versailles, on a la chance que ce soit effectivement le cas)
Si l’arrivée des centres commerciaux péri-urbains puis le développement du e-commerce ont changé la donne pour les commerces de proximité, réduire la problématique de l’attractivité de nos centres-villes à la dynamique commerciale serait une erreur.
Afin d’imaginer des centres-villes plus attractifs, agréables et praticables, il faut intégrer l’ensemble des fonctions qui font vivre ces centralités :
Cela passe par des déconstructions et reconstructions, la limitation de la circulation automobile, des changements d’usages, des espaces publics repensés mais aussi de nouveaux mobiliers urbains, de la végétation etc.
Nous travaillons avec de nombreuses collectivités locales dont les objectifs peuvent être différents.
Certaines sont amenées à (re)créer un véritable centre-ville, ce qui est un enjeu dans les villes nouvelles (qui ne sont d’ailleurs plus nouvelles depuis longtemps) comme à Evry-Courcouronne
D’autres à recréer un centre-ville plus accueillant, plus accessible et adapté aux évolutions climatiques dont (création d’îlots de fraicheur) comme à Sèvres ou Garches. D’autres, enfin, à imaginer de nouvelles centralités dans des quartiers périphériques des centres-villes comme à Montpellier ou Caen…
Pour ces collectivités, nos missions sont de :
Et concrètement, cela nous amène à travailler sur :
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La Région Grand Est était déjà en pointe sur le déploiement de la fibre (un sacré chantier quand on sait l’immensité de son territoire !). Elle l’est aussi désormais sur le pilotage des datas… avec un objectif très actuel : rendre l’action publique plus sobre. Une réponse concrète à l’urgence de la transition énergétique !
Nous le savons tous, la modernisation des infrastructures publique est primordiale. Elle permet notamment de réduire les coûts énergétiques, d’améliorer l’efficacité énergétique et d’augmenter la résilience aux risques climatiques. Cette urgence dans le secteur public est donc liée aux enjeux environnementaux, économiques et sociaux, et à la nécessité de garantir un avenir durable pour les générations futures.
Et ce, la Région Grand Est l’a bien compris en plaçant la transition énergétique comme une priorité absolue.
Son président Jean Rottner a expliqué avec force l’ambition de la Région ce mardi 29 novembre à Strasbourg, à l’occasion des Rencontres régionales de la donnée du Grand Est, animées par Rouge Vif .
La donnée prendra une valeur décisive si nous savons la rendre accessible et utile pour l’ensemble des acteurs.
Concrètement, la Région a lancé DataGrandEst, une démarche participative qui permet de fédérer progressivement l’ensemble des acteurs territoriaux pour construire un service public et régional de la donnée.
La plateforme a pour objectif de rassembler et de rendre accessibles les données publiques de la région dans différents domaines tels que l’économie, l’environnement, les transports, l’éducation, la santé, etc. Elle permet aux citoyens, aux entreprises et aux administrations d’accéder à une grande variété de données, de les visualiser et de les télécharger gratuitement, en fournissant également des outils pour aider les utilisateurs à les analyser et à les exploiter.
Cette initiative vise à encourager l’utilisation des données publiques pour stimuler l’innovation, améliorer la prise de décision et favoriser la transparence dans la gestion publique.
En partenariat avec les services de l’État, ils accélérèrent l’ouverture des données, enrichissent une plateforme partagée et développent les usages de la donnée au service de politiques publiques plus sobres, pour les mobilités, ou la lutte contre l’artificialisation des sols par exemple.
Mardi, les stands de plusieurs institutions (agences d’urba, DREAL notamment) affichaient des simulations en temps réel permettant de découvrir la puissance de cet outil, quand les jeux de données sont transformés en cartes et en graphiques, bref, en récits territorialisés !
À entendre l’enthousiasme des équipes présentes, si la phase d’acquisition et d’agrégation des datas se poursuit, c’est bien leur interprétation au service de l’intérêt général qui est aujourd’hui au cœur des projets.
Du numérique sobre et utile, comme on l’aime chez Rouge Vif. À bientôt en Grand Est… et merci à tous les intervenants et participants !
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