On imagine que vous avez toutes et tous envie de vivre dans des villes où l’on peut faire ses courses chez de petits commerçants, où vous pouvez aller au cinéma, faire du sport, fréquenter la bibliothèque, boire un coup en terrasse… bref dans lesquels il fait bon vivre et se promener en joignant l’utile à l’agréable.
Malheureusement, il n’est pas simple pour toutes les communes de faire correspondre leur réalité à cette image d’Epinal (on ne sait pas trop comment c’est à Epinal, mais à Versailles, on a la chance que ce soit effectivement le cas)
Si l’arrivée des centres commerciaux péri-urbains puis le développement du e-commerce ont changé la donne pour les commerces de proximité, réduire la problématique de l’attractivité de nos centres-villes à la dynamique commerciale serait une erreur.
Afin d’imaginer des centres-villes plus attractifs, agréables et praticables, il faut intégrer l’ensemble des fonctions qui font vivre ces centralités :
Cela passe par des déconstructions et reconstructions, la limitation de la circulation automobile, des changements d’usages, des espaces publics repensés mais aussi de nouveaux mobiliers urbains, de la végétation etc.
Nous travaillons avec de nombreuses collectivités locales dont les objectifs peuvent être différents.
Certaines sont amenées à (re)créer un véritable centre-ville, ce qui est un enjeu dans les villes nouvelles (qui ne sont d’ailleurs plus nouvelles depuis longtemps) comme à Evry-Courcouronne
D’autres à recréer un centre-ville plus accueillant, plus accessible et adapté aux évolutions climatiques dont (création d’îlots de fraicheur) comme à Sèvres ou Garches. D’autres, enfin, à imaginer de nouvelles centralités dans des quartiers périphériques des centres-villes comme à Montpellier ou Caen…
Pour ces collectivités, nos missions sont de :
Et concrètement, cela nous amène à travailler sur :
Prêts pour un site internet éco-conçu ?
Génération Z et tourisme : repensons le rapport au territoire
De l’énergie pour mobiliser les réseaux d’acteurs
Arrêt sur image avec une démarche éditoriale éminemment graphique ! Rendez-vous avec la facilitation graphique sur le projet de transformation du quartier d’Aquaboulevard.
Toutes les Parisiennes et tous les Parisiens connaissent la plus grande piscine ludique de Paris : la bien nommée Aquaboulevard !
Sur quelque 6 ha, c’est un paradis pour les familles au succès ininterrompu depuis sa création en 1989. Mais, dans ce quartier, ce lieu emblématique est l’arbre qui cache la forêt : un ensemble immobilier très dense, très minéral, sans ouverture sur le reste de la ville où les commerces ne bénéficient pas de la proximité de ce formidable équipement.
Afin de remettre Aquaboulevard de Paris en cohérence avec le reste du quartier, divers dispositifs de communication et de partage ont été organisés par le Groupe Rouge Vif dans le cadre de la concertation.
En plus de l’animation d’ateliers, notre facilitatrice graphique maison a accompagné les débats pour que les participantes et participants aient une vision synthétique de leurs propositions en les voyant prendre vie sur un dessin… sous leurs yeux ébahis.
Efficace, cette solution ludique positionne les participant.e.s dans une attitude collective pour les faire tendre vers un objectif commun. Le fait de représenter concrètement, et en toute transparence ce qui se dit, permet aux personnes présentes de constater que leur parole est prise en considération et que leurs interventions sont reconnues comme utiles et contributives au projet.
Cette technique, qui participe amplement au processus de co-création, est donc particulièrement appréciable dans une démarche de concertation.
Pour notre facilitatrice graphique, la mission est complexe car il lui faut saisir les idées exprimées et les transcrire dans des dessins simples mais signifiants, tout en continuant à suivre les débats ! Son rôle est d’ordonner les pensées pour hiérarchiser les informations de façon à délivrer un visuel compréhensible pour tout le monde.
Quand je peux, j’essaye de dessiner vraiment les personnes présentes. L’émotion est forte lorsqu’elles se reconnaissent sur le dessin. Cela renforce généralement leur participation et leur engagement dans le projet.
Au fur et à mesure de l’avancée de la discussion, la planche d’images est de plus en plus fournie et de plus en plus riche, tout en donnant de la cohérence aux idées exprimées. Les dessins produits en séance sont ensuite retravaillés sur une tablette graphique pour être encore plus pro et publiables dans un format numérique.
Pour les porteurs de projet qui souhaitent se placer dans une démarche participative, la facilitation graphique est une aide précieuse… et en plus, elle se partage bien sur les réseaux sociaux.
Prêts pour un site internet éco-conçu ?
Génération Z et tourisme : repensons le rapport au territoire
De l’énergie pour mobiliser les réseaux d’acteurs